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L’arrestation et le martyr au camp de Dachau


Le témoignage de l’abbé Stefan Ceptowski


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L’arrestation et le martyr au camp de Dachau.

Prycze w obozie w SachsenchausenLa première arrestation de l’abbé Wajszczuk eu lieu le 28 avril 1940. Une voiture noire de la gestapo s’arrêta devant sont presbytère. Après avoir vérifier l’identité du prêtre, la gestapo lui intima l’ordre de monter dans leur voiture. Le curé pris sont bréviaire et très calmement il s’approcha de l’organiste Antoni Patkowski, lui fit ses adieu et dit aux gens qui étaient devant le presbytère ‘que dieu soit avec vous ‘, et il partit. Après avoir fait sa déposition a la gestapo de Radzyñ Podlaski le 29 avril, il fut libérer de la prison et il revint à Drelów sous la condition express qu’il ferait une déposition supplémentaire dans trois jours a la gestapo de £uków. Ses fidèles lui conseillèrent de ne pas croire les Allemands et de partir se mettre en lieu sur avec des habits civils. Mais il ne prêta pas l’oreille a leurs conseils, car il avait donner sa parole de prêtre aux allemands.
Le 2 mai 1940 l’abbé Wajszczuk alla volontairement faire sa déclaration a la gestapo de £uków. Il y fut arrêter et transporter à Lublin le 3 mai 1940. D’un immeuble de la Kommandantur du district de Lublin rue Uniwersytecka ou on l ‘interrogea quelques heures il fut conduit ce même 3 mai 1940 a la prison hitlérienne du château de Lublin. Pendant les années d’occupation, elle fut une des prisons les plus dures et les plus répressive de Pologne.
RobotnicyQuand le père de Charles, Piotr Wajszczuk mourut à Siedlce le 20 mai 1940 Maria Klimczykowa, la sœur de Charles, essaya de lui obtenir une permission pour qu’il puisse aller à l’enterrement de leur père. La gestapo l’informa que l’on l’avait déjà transféré de Lublin, c’était bien sur une fausse information.
Pendant sont séjour au château l’abbé Wajszczuk rencontra l’abbé Stefan Ceptowski avec qui il partagea sa cellule pendant 2 ans.
Le 18 juin 1940 il fut emmené en fourgon au camp de Sachsenhausen ou il y arriva le 20 juin1940. Il y fut inscrit comme le prisonnier 25746. Pendant sont séjour la bas il envoya 7 lettres, a sa famille, ses amis et a l’organiste de Drelów, Patkowski qui furent toutes censurées. A Drelów plus rien n’allait, après l’arrestation de l’abbé Wajszczuk tout changea. Conformément a la disposition du staroste du district de Radzyñ du 25 mai 1940, les nationalistes ukrainiens prirent à leur charge l’église et le presbytère. Horodek fut lui rendu aux Polonais. L’abbé Leon Gliczyñski qui remplaçait le curé de Drelów, obtint le consentement du staroste concernent le démontage des orgues de l’église de Drelów. En septembre 1940 l’organiste Antoni Patkowski avec l’aide des paroissiens, transporta les orgues à Przechodzisko dans la maison de Bazyli et Katarzyna Olesiejuk. L’abbé Gliczyñski transporta à Horodek le baldaquin, les gonfalons, les vêtements liturgiques, la vaisselle et les autres objets du culte. Le 14 décembre 1940 – d’après l’administration centrale du PCK à Varsovie - l’abbé Wajszczuk fut transporté du camps de Sachsenhausen au camp de concentration de Dachau ou il fut enregistre comme le prisonnier numéro 22572. Les prisonniers de ce camp, pesaient en moyenne 40 kilos. En février 1941, Maria Klimczykowa informa sont frère Charles des évènements qui étaient survenus à Drelów et de l’arrestation de l’organiste Patkowski (qui mourut à Oœwiêcim le 10 février 1942). Krematorium w obozie w DachauDe mars a la fin de l’année il n’y eu pas de correspondance entre le prisonnier et sa famille, sa mère pria la gestapo de libérer sont fils mais la réponse fut négative. L’abbé Wajszczuk n’était pas au courant de cette réponse et attendait sa libération. En janvier 1942 la famille de l’abbé Charles commença à obtenir des lettres. Dans sa dernière lettre du 17 mai 1942 il écrivait ‘ je pense que la semaine prochaine je changerai de camp, je ne suis à Dachau que de passage, lorsque je serai transféré je vous enverrai ma nouvelle adresse’. Il ne se rendait pas compte qu’il serai bientôt emmener dans le ‘convois des invalides’, pour mourir dans la chambre a gaz. Le 28 mai 1942 l’abbé Wajszczuk se retrouva dans le ‘convois des invalides’ et d’après l’abbé W. Jackiewicz il péri ce jour là.
Le 28 mai 1942 est officiellement admis comme le jour de la mort de l’abbé Charles Wajszczuk au camp de concentration de Dachau, car ce n’est pas la dernière date de sa présence dans les documents. Le 1 juillet 1942 la kommandantur du camp informa la famille de l’abbé de sa mort par un télégramme. Le 8 juillet 1942 sa mère envoya une lettre au commandant du camp en le priant de lui donner de plus amples informations quand a la mort de sont fils. Le 15 juillet 1942 elle reçut cette réponse :’ En réponse a votre lettre du 8 juillet 1942 la kommandantur du camp de Dachau, vous communique que malgré les soins attentifs du personnel de l’hôpital, votre fils Charles Wajszczuk est mort le 1 juillet 1942 a 23 heures après une courte maladie du cœur, suite a une mauvaise circulation sanguine et a de l’artérite. Il n’a pas que je sache exprimer de dernières volontés. Ses affaires vous seront envoyer dans quelques jours’ Au bas de la lettre figurai une signature illisible.
La sœur de l’abbé Wajszczuk, Marie Klimczykowa ne crû pas a l’explication des allemands et rechercha la vérité sur la mort de son frère. Jan Domaga³a ex-prisonnier du camp de Dachau lui indiqua que le terme “convois des invalides” signifiait la mort.


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dr Feliks Olesiejuk 
"Wspomnienie o ksiêdzu  Karolu Leonardzie Wajszczuku 1887-1942"

Rocznik Miêdzyrzecki - Towarzystwo Przyjació³ Nauk 
w Miêdzyrzecu Podlaskim -  1987
Traduction: Wioletta £ajtar